mardi 10 janvier 2012

Aztlan-Nui

Gravement à la santé...

Oh, oui, je sais, mes bons amis, mes fidèles lecteurs, et innombrables admirateurs (secrets, très secrets, cela va de soi, voire invisibles...), j’ai lâchement et honteusement abandonné ce magnifique « web log », qui fait la fierté du monde, du moins sis entre les quatre rues qui délimitent le joli carré de campagne où se dresse, fière et robuste, ma charmante retraite champêtre. Si, si, si... Ousque donc, pour en revenir à nos moutons et à nos agneaux (que je puis d’ailleurs voir en me penchant à ma fenêtre), il se trouve que le lâche et couard abandon de ce blog trouva, en partie, l’origine dans quelques ennuis de santé, certes mineurs, mais néanmoins désagréables et quelque peu handicapants (à savoir que je me suis tout de même trouvé dans un état un peu second, et quelque peu « patraque » durant environ trois semaines, et qu’il m’a fallu ensuite récupérer).


Que voilà d’ailleurs une magnifique transition, car, de santé très défaillante, il est bien question pour ce dit projet. Mais, laissons parler, maintenant, pour vous présenter cette flamboyante épopée, les « narratifs » de la première planche (en cours de réalisation) :

Les Aborigènes Ata-Nui la nommaient “Grande Terre au Milieu de Nulle Part”, les Aztoltèques y voyaient leur mythique Aztlan ou la “Terre Pure des Ancêtres”...

Quant à nous, pauvres pécheurs, lancés là par les cruels caprices de Neptune, pouvions-nous savoir que nous aurions dû la dénommer “Sans retour et aux Milles Sortilèges”, au moment même où nos vigies s’exclamaient “Terre !” ?


Quant au magistral crayon aux commandes (aux côtés de votre modestissime serviteur) de cette fresque baroque, il vous sera révélé prochainement.